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La chanson remonte à la préhistoire du folklore américain. La mélodie serait inspirée d’une ballade anglaise sur laquelle un couple américain, Georgia Turner et Bert Martin, aurait greffé des paroles inspirées des bas-fonds de la Louisiane.
House of the Rising Sun ? La Maison du soleil levant . Un bordel, évidemment. Un de ces hôtels borgnes en planches peintes qu’on trouvait au bord du Mississippi, du temps de Tom Sawyer, avec ses filles en crinoline et trop maquillées, ses croupiers placides et ses pianistes en gilet bariolé. On y entend la complainte éternelle des filles perdues et des mauvais garçons, une chanson de Piaf en américain, l’histoire d’une déchéance qu’on raconte pour édifier les jeunes.
Mais quand Andy Rehfeld, grand spécialiste de versions détournées décide de "Death Métal-iser" House Of The Rising Sun,...là ça devient un Crazy Cover.
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