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C’est l’histoire de six lignes. Six petites lignes et seize fois le même juron pour la version non censurée. Un hurlement. Une tirade en forme d’insulte lancée contre les maladies de la société américaine.
La maladie principale, c’est le racisme et c’est la multiplication des actes racistes au sein de la police qui est à la base de Killing In The Name, titre emblématique des Californiens de Rage Against The Machine.
Rap et metal obligent, ces lignes sont répétées sauvagement, directement, hypnotiquement, comme autant de slogans. Le premier couplet , Some of those that work forces, are the same that burn crosses, est déjà sans appel : ceux qui sont de côté de la force, de la loi, sont les mêmes qui brûlent des croix. Pour le second couplet, on remet une louche : the chosen whites, ce sont les blancs élus. Et ils ont tous les droits, dont celui de tuer, puisqu’ils portent un badge. Une situation injuste qui n’appelle qu’une seule réaction : l’insoumission.
Fuck you, I won’t do what you tell me.
Le 1er plus doux que l’originale (et ceci est un euphémisme).
Le 2ème avec un p'tit air rétro...
Le 3ème quand l'électro s'invite...
Le 4ème en mode jazzy
Le 5ème Killing in the name of BONTEMPI.
Le 6ème le plus festif.
Bonus : A cappella
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